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Ali Amzine ... pensée libre !
8 novembre 2017

Le Royaume en Renaissance renouvelée !

For Tourists

 

 

De tous les socles qui ont fondé

L’apogée les nations

Le plus solide et le plus sûr, a toujours été

La fusion entre un meneur érudit

 Et un peuple mobilisé.

 

 

 

Le Maroc

 

Le grand Maroc

 

Le royaume du Maroc !

 

Cette nation des plus anciennes nations du monde.

Cet état des plus jeunes et des plus vigoureux états de la planète.

Nourri de son assez longue et riche histoire, qui a su lui inculquer cette distinction fine et intelligente entre l’éternel et le périssable, et l’a gratifié de cette illumination de démarcation entre l’éphémère et le durable.

Ce discernement entre le matériel et l’intemporel, que portent le Maroc et les marocains telle une empreinte indélébile, et qui a contribué aux équilibres sociaux, politiques et culturels du pays et a conforté son inébranlable harmonie et son imperturbable stabilité.

Comme l’esprit d’héroïsme et les qualités de bravoure de la personnalité marocaine, cette constante ayant dominé le cours de notre histoire, et qui continue de dominer encore aujourd’hui la vie de la nation marocaine et continuera encore pendant les siècles à venir, en redonnant naissance à des hommes et des souverains qui renouvellent à chaque génération cette dynamique et cet élan de leaders et de visionnaires.

Ces notions qui caractérisent le plus naturellement la nation marocaine qui respire le courage, le discernement, le sacrifice, l’abnégation et la bravoure, qui font partie intégrante de la vie quotidienne et sociale marocaines et qui lui permettent sans cesse de se régénérer.

Ces valeurs aussi brillantes et aussi intenses, un monarque lucide et sincère, ne peut s’en soustraire, et le courage reconnaît  les siens, il en fait des alliés et devient leur rival, leur mobile et leur compagnon de route.

Et si la grandeur d’un roi consiste à avoir reçu ce puissant pouvoir que lui lègue l’histoire de plusieurs siècles et l’héritage d’une ou de plusieurs dynasties, l’autre grandeur du roi Mohamed VI, son autre éminence et son incontestable génie, est de s’en être servi pour redonner naissance à la grandeur d’une nation, au triomphe de la justice et de l’équité sur les méandres du passé et à la réanimation des espoirs chez la jeunesse et dans tout le peuple marocain.

Peuple qui a ravivé sa vigueur et son indéfectible attachement à la patrie, à l’union, à la solidarité et à la cohésion, à un moment grave et crucial que traverse le monde et où des nations s’effritent et des peuples se livrent à des déchirements sanguinaires, jamais connus auparavant.

Si le souverain Mohamed VI, par ses stratégies et par son savoir-faire a réanimé la vigueur d’un pays, de son économie et de sa démocratie, il a aussi, singulièrement, par son attitude loyale et ses penchants humains, su redonner cette immense bouffée d’espoir et de confiance aux millions de jeunes marocains qui ont revivifié leur grand attachement à la nation.

Ce sens du pays, de la patrie, de l’union et essentiellement cette quintessence qui anime les peuples et les individus, cette philosophie et cet enseignement que ne peuvent prodiguer les livres ou tous les bancs des universités, l’amour et le respect de chaque citoyen, par le droit, la liberté, la clémence, la douceur, la solidarité et la protection et non par une autorité totale qui ramène le peuple à une équation de chiffres.

Et c’est dans cette verve patriotique et humaine inaliénable, que l’avènement du nouveau règne du roi Mohamed VI en 1999, a apporté une nouvelle dynamique et une force inédites à la nation et à la gestion des affaires de l’état.

Le rayonnement et le succès de la monarchie marocaine qui ont été de tout temps multiples ainsi que sa légitimité historique incontestable, ne cessent de se renouveler à chaque étape, symbolisés par des événements forts, tels que la fête de l’intronisation, la révolution du roi et du peuple, la révélation de l’indépendance, ou encore l’anniversaire de la géante marche verte.

À parcourir ses mémoriaux, ses feuillets et ses épisodes, le règne du roi Mohamed VI surgit en un chapitre distinct et inédit, déclenchant dans la civilisation et dans la monarchie marocaine, un nouvel âge de renaissance et une nouvelle phase de régénération de sa vigueur, de son dynamisme et de son audace.

Un règne qui sut produire au sein du peuple marocain une ambition et une tendance à l’accomplissement et l’affirmation de sa doctrine et de ses exploits, au sein de la civilisation arabe, musulmane, africaine et mondiale.

Un règne qui sut mener la nation marocaine à sa plénitude et à la complétude de sa maturité et sut aguicher ses compétences, attiser ses propensions et ressortir ses atouts, dans un processus de soft power, de souplesse, et de révolution douce et sereine, à travers des réformes et des changements graduels et échelonnés. Une révolution maîtrisée, programmée, encadrée et stimulée pendant dix huit années sans trêve.

Il n’est nulle doute que de tous les fondements ayant érigé les nations et bâti leur apogée, le plus solide et le plus sûr, a toujours été cette fusion entre un meneur hors pair et un peuple mobilisé, un leader aimé et acclamé et une nation soudée et unie, marchant en millions derrière lui, comme marche un seul homme.

Mohamed VI est un monarque réformateur et courageux, un homme de paix et un stratège réputé, qui a redonné ici, une nouvelle réincarnation au royaume, comme il a su réinventer la gouvernance, le pouvoir et la monarchie, en menant de front plusieurs batailles à la fois.

Le Maroc, comme modèle actuel et comme civilisation, de part son originalité et son exception, ne cessera d’inciter chez d’autres pays un nouveau besoin de redécouverte, afin de puiser dans ses richesses et son rayonnement, dans sa monarchie, dans ses stratégies, dans ses courants d'idées, dans ses arts, chez ses penseurs, ses médecins, ses ingénieurs, ses écrivains et ses poètes.

Le Royaume du Maroc est connu dans le concert des états pour être une grande et puissante nation, ayant une voix prépondérante sur le plan politique et était pendant plus de douze siècles, le centre d'équilibre entre l'Orient musulman et l'Europe chrétienne, ainsi qu'un pivot d'harmonisation entre les deux rives de la Méditerranée.

Un empire chérifien, qui a été au diapason des anciennes nations, en reconnaissant avant les autres l’indépendance des uns, comme celle des États Unis d’Amérique et en soutenant la libération des autres comme celle de l’Afrique du sud ou de l’Algérie, de Madagascar et de nombreux pays arabes et africains, contre les colonialismes et les dominations.

Un empire qui avait composé d’égal à égal avec des puissances tel que l’empire ottoman, sans jamais renoncer à ses valeurs ni rester témoin passif devant l’aliénation des autres.

Un royaume qui aux années 1940, sous l’Allemagne nazie quand la France Pétainiste et tous ces pays qui expédiaient au bûcher des millions d’âmes humaines durant la Seconde guerre mondiale, accueillait sous l’aile du roi et du Sultan Mohamed V, les diverses vagues de réfugiés à la suite des persécutions dont étaient victimes les Juifs en Europe et en France. 

La communauté juive au Maroc s’est trouvée alors fortifiée de plusieurs centaines de milliers, et ils sont plus d’un million de marocains juifs aujourd’hui de part le monde à l’attester, avec la nostalgie de leur pays d’origine, le Maroc dont ils gardent encore la nostalgie et le chagrin de l’éloignement.

Alors que pendant la deuxième guerre mondiale, certains états et leurs médias aux trousses, n’ont jamais pu prendre une position claire dans la bataille, cette bataille dont dépendait la vérité de l’époque et le sort du monde libre d’aujourd’hui, quand d’autres se sont rangés du coté infernal, colonialiste, nazi et assassin, pour s’improviser aujourd’hui en maîtres chanteurs, en prédateurs et en mercenaires de dénigrement, de ce Maroc géant qui a historiquement été précurseur des droits humains et de la protection des minorités.

Le Maroc et les marocains jouissent de gisements spirituels énormes et intarissables, de réserves de douceur méditerranéenne et d’hospitalité légendaire, ainsi que d’une force de jeunesse et de souplesse, les habilitant à se renouveler et à se réinventer à chaque évènement et à chaque étape de l'histoire.

C’est ce qu’ont été les marocains de toute leur histoire monarchique et citoyenne. Ils ont su se réadapter à toutes les étapes et ont su se reproduire et régénérer leur sève, leur intelligence et leur détermination.

Le Maroc qui a assumé un rôle de premier ordre dans l'histoire des civilisations musulmanes, et qui a suscité auprès des nations ayant adopté l’Islam, un regain d'énergie et un esprit de liberté qui leur faisait totalement défaut, sans atteinte ni altération aux droits individuels ou aux droits des collectivités, persiste aujourd'hui dans sa voie historique et royale de la légalité, du respect du droit et de la liberté des peuples.

Et de toute l’histoire du monde arabe, les civilisations des nations ne se sont à aucun moment distinguées que très légèrement les unes des autres, en raison des liens culturels, linguistiques, historiques et ethniques qui les unissent et en raison de l'interaction de leur mode de vie et de leur appartenance à la même famille.

Mais aucune de ces nations musulmanes ou arabes, absolument aucune, n'a pu résister aux caprices politiques du pouvoir et aux bouleversements qui en découlent, ainsi qu'à la domination des envahisseurs étrangers, aucune n'a su préserver sa souveraineté et son intégrité pendant douze siècles, comme le Maroc l’a fait à tous les moments de son histoire, quand les autres nations trépignaient dans les tâtonnement et les ténèbres, ne sachant où donner de la tête, ni comment réinventer la force et la vigueur de sauvegarder leur identité.

La civilisation marocaine et son génie se sont ainsi révélés à bien des égards, supérieurs à certaines autres civilisations et c’est un fait historique permanent.

Ce génie et ce mode de pensée marocain, ont par delà réussi une meilleure interaction avec le mode de pensée islamique et occidental d'une façon générale, au point de réaliser des prouesses dans les domaines de la législation, de la philosophie, de la médecine et des mathématiques, comme dans les domaines des sciences sociales et des conclusions qu’on en a tirées, pour glorifier les acquis de la science comme de la civilisation universelle.

En témoigne l’université Al Qaraouiyine, qui se dresse encore à ce jour à Fès, sillonnant 12 siècles, et qui figure au Guinness mondial comme la plus ancienne Université du monde, foyer de sagesse et de science, ayant accueilli sur ses bancs d’illustres figures de la science et de la pensée, tels le que le savant et médecin Averoès (Ibnou Rochd), le philosophe juif Maimonide, ou le grand historien Ibn Khaldoun, ou encore les mathématiciens Ibn Baja et le juif Ibn Al Yassmine, inventeur du Triangle de Pascal, comme elle a accueillie le pape français Sylvestre II, pontifié à Rome en l’an 999.

Cette université doyenne à la chaire mondiale de la science et de la connaissance, qui fait honneur à la femme marocaine, étant construite par une femme illustre que l’histoire a immortalisé ; Fatima El Fihriya, tout comme d’autres femmes éminentes de l’histoire marocaine, dont Khnata bent Bekkar du règne du grand roi Moulay Ismail et tant d’autres dans de nombreux domaines.

La sagesse, la sensibilité et le talent marocains, sont des affinités solidement ancrées dans l’histoire du Maroc et dans la mémoire du monde.

Comme en témoigne aussi sa poésie éternelle, sa musique d'une incomparable harmonie, son art architectural impressionnant, son capital traditionnel et ses personnalités de très grande notoriété, ayant brillé dans tous les domaines, de tout temps et de tout lieu. Source d’inspiration des peintres, des écrivains et des artistes, le Maroc ne cesse d’exercer sa fascination sur les penseurs et les historiens.

Et d’Eugène Delacroix à Tanger, porte des deux mondes aux années 1830, à Matisse, à Torres, à Majorelle et à Miro, le culte rendu au cérémonial des lumières, des émotions, des scènes et des paysages rayonnants du royaume, continuait d’envoûter plus tard, Nicolas de Staël, Edouard Degas comme Francis Bacon et jusqu’aux  écoles des Beaux Arts actuelles et aux œuvres des maîtres marocains. Et c’est cette richesse et ce patrimoine culturel et immatériel, cette quintessence morale et spirituelle spécifiquement et originalement marocaine, qui fait aussi essentiellement la force, le génie et la vigueur du Maroc.

Le long de son histoire, il a toujours compté dans ses positions, des héros et des conquérants hors du commun, des dirigeants émérites, des gouvernants chevronnés et des souverains puissants.

Comme il a compté des érudits aux doctrines ayant constitué le substrat et le fondement d’un Maroc éternel et stable dans la continuité, ayant contribué à l'épanouissement des anciennes civilisations, en fondant un empire qui a eu la maîtrise de la navigation et de la cohabitation riveraine de la Méditerranée.

Ce sont aussi ces vérités qui révèlent la suprématie du Maroc et son écho résonant dans l’histoire et la géographie, avec ce cachet constant qui revient toujours et qui retentit, chaque fois qu’il en est besoin, à savoir ; l’héroïsme et la loyauté.

Ce qui a permis aux marocains de toujours gagner leurs causes; pour le seul mobile et l'unique motif de leur justesse et leur droiture, et qu'ils ne le font ni par convoitise ni pour un quelconque salaire, mais pour leur indépendance et l'intégrité de leur nation.

De toute leur histoire ils ont triomphé des corsaires et des mercenaires et aucune nation ni aucune armée ne pourra jamais leur ravir leur liberté et leur indépendance, ni éteindre cette vaillance et ce courage ardents qui ont animé de tout temps, la marche de leur histoire.

L’empire chérifien, ne dominait il pas pendant les huit siècles de son règne Andalous sur un ensemble géopolitique vaste, s'étendant du fleuve du Sénégal jusqu'aux abords des Pyrénées en Europe et des côtes atlantiques jusqu'à Alger ?

L’empreinte andalous-marocaine n’avait elle pas donné l'émergence à la civilisation hispano-mauresque ?

Les plus prestigieux édifices et les plus beaux vestiges dressés en Espagne Andalouse, à Cordoba, à Grenade et à Séville, à Marrakech, à Fès, à Tlemcen et à Alger, sont témoins encore aujourd’hui de la forte influence de cette civilisation qu’on ne pourra jamais soustraire aux soubassements du Maroc actuel et du Maroc éternel.

Cette civilisation arabo-musulmane dont le Maroc n’a à aucun moment de son histoire cessé de porter l’étendard et de faire irradier l’éclat en occident comme en Afrique par ses rois, ses savants et ses hommes de bonne volonté, que l’histoire a éternisés dans ses mémoriaux, tels des monuments de la civilisation humaine, dont le Maroc actuel et futur restera à jamais la sève et le constituant.  Les marocains sont d’avantage motivés et résignés aujourd’hui, plus que jamais à redoubler d’effort et à s’atteler aux rênes de leur avenir, avec un monarque et un guide de grande volonté tel qu’il n’en a jamais eu auparavant.

Ce serait, méprendre le peuple marocain séculaire, de sang et de veines royales, sunnite et malékite, que d’omettre sa fusion forte, harmonieuse et absolue avec ses pairs et ces citoyens, qu’ils soient arabes juifs ou amazighs.

Là aussi réside la puissance impériale du Maroc et des marocains, dont le modèle de société qui fait l’admiration du continent, s’est fondé contre vents et marées et contre tous les soubresauts de l’histoire, grâce à son corps sain fait de diversité et de pluralisme, d’intégrité et d’unité.

Que cela échappe aux amnésiques, n’empêchera pas l’histoire de les faire rayonner indéfiniment.

Tels sont certains traits du royaume du Maroc et certaines facettes de son être et de sa physionomie.

Avec son rôle continental qui fait partie de ses principes comme pays qui ne s’est jamais tapi ni replié sur ses convictions au détriment de l’ouverture sur le monde et sur le dialogue, fidèle à sa notoriété historique de pays ambitieux, de devancier et d’avant-coureur aux dénouements paisibles, en restant tenace et ferme dans les voies légales du droit international.

N’est il pas effectivement, cet arbre dont les racines nourricières plongent en Afrique et dont le feuillage bruissant respire aux vents d’Europe, cette belle métaphore de Sa Majesté Hassan II ?

Ce qui fit du Maroc, la charnière et le cœur battant de l’ensemble géographique du Maghreb, de l’Afrique et de la méditerranée, fermement attaché à son unité et à sa souveraineté, avec une vigueur telle qu’elle entraîne une influence bénéfique sur les ressortissants d’origine étrangère qui choisissent d’y vivre et qui finissent comme les nationaux, partageant la façon de penser des Marocains.

Tout comme les composantes ethniques de la société marocaine, arabes, Andalouses ou Amazigh, les juifs marocains de part le monde, comme la plus grande diaspora marocaine, portent encore ce seing ineffaçable qui ne les quitte jamais, malgré leur double nationalité dans un pays étranger, ils restent fermement attachés à ce Maroc sempiternel qui est le leur, d’origine et de berceau et dont ils font part entière depuis 3000 ans.

Ces mosaïques humaines vigoureusement fusionnées qui sont restées solidaires et unifiées, rejetant tout fauteur de trouble, interne ou externe, hors du corps national, depuis le règne d’Idris 1er, héroïque chef arabe d’origine et marocain de cœur et d’adoption, qui a amorcé l’édification de la société et de la monarchie marocaines.

Les composantes marocaines, ont toujours su accorder une révérence à la tradition avec une ouverture au progrès social et culturel, sans se soumettre au lacet d’une mondialisation aveugle et agressive.

Il n’y a plus aucun doute, que le royaume et sa monarchie démocratique, constitutionnelle et équilibrée, ont redonné ici naissance et renaissance à un Maroc toujours nouveau, pilote de l’émergence économique et politique, durable et humaine, et qui s’est consacré comme modèle et idéal politique, économique et social en Afrique et dans le monde arabe.

Et la caravane Sultanesque talonne royalement sa chevauchée, de son allure magistrale, de son cortège lustral et de son diadème rayonnant du haut de ses 1200 printemps.

Et la couronne chérifienne s’embellit de ses gracieuses parures chaque jour plus rayonnantes.

Halant dans sa lancée, tous les terroirs et toutes les forces du royaume, gravant au firmament son nom tel un printemps et prévenant inlassablement une renaissance toujours recommencée.

 

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