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Ali Amzine ... pensée libre !
24 février 2018

Justin Trudeau..Un Temps Fort pour L'Innovation et la Croissance !...Extraits.

 

                                                                             un temps fort2

 

Prélude

 

La croissance pour qui d’abord

Et pour quoi en suite ?

 

Les indicateurs sont au vert.

Une reprise d’optimisme et un engouement positif regagnent les économies.

Selon les experts, l’économie mondiale a continué de croître à un rythme de plus en plus conséquent , et malgré un petit repli à cause aussi de la contingence géopolitique et la conjoncture climatique.

Les réformes courageuses et les multiples régulations, entreprises par les leaders des pays du G7, commencent à apporter leurs fruits et à impulser une dynamique globale.

Et c’est grâce aussi à la redynamisation  de l’engagement des dirigeants envers les questions sociétales et de développement durable.

Une volonté distincte est annoncée ; la réconciliation de l’économie et de la politique avec la société et avec tous les citoyens.

Décision unanime, des experts économiques et des dirigeants politiques, qui veut absolument adapter la croissance aux préoccupations sociales, et l’orienter vers plus d’équité, de progrès social, de diversité et d’égalité des chances.

Avec cette question capitale ; la croissance, pour qui d’abord et pour quoi ?

Cette  nouvelle dynamique mondiale de la croissance économique, est une opportunité pour faire face à la fois à la rapidité des mutations technologiques et à la lutte contre le changement climatique, par des actions participatives et partagées, des pouvoirs publics et des citoyens tous ensemble.

Opportunités offertes aussi par l’accélération sans précédent de la révolution numérique et des mutations qu’elle continue d’engendrer dans les économies, dans les comportements sociaux et dans les actions des opérateurs, ainsi que dans la modification des écosystèmes économiques et des processus industriels d’une part, et des approches des politiques libérales d’autre part, afin d’en faire des occasions d’améliorer les performances économiques.

Et dans un monde où se multiplient des zones de libre-échange, parallèlement à la conscience éveillée des dirigeants à l’égard d’une compétitivité en harmonie avec le respect de l’environnement, il devient indispensable de repenser minutieusement un ensemble d’actions politiques conscientes, afin de garantir une compétitivité irréprochable.

Les actions politiques progressistes que ces opportunités nécessitent, s’appliquent à gérer le stress social inséparable des phases de transition, en raison de l’apparition des nouvelles exigences et des nouvelles nécessités, qui pour être satisfaites, sollicitent plus d’efforts économiques et plus de budgets. 

Comme elles sollicitent des réformes économiques courageuses, des politiques financières entreprenantes, ainsi que des réformes sociales et institutionnelles audacieuses, pour lesquelles les gouvernements sont mandatés par des élections légitimes.

Se mettre au diapason de cette quatrième révolution, c’est renouer avec la croissance, comme avec la performance et la compétitivité, et c’est aussi coopérer à la relève économique mondiale du commerce international, qui s’approche d’une progression de 4% avec une amélioration du niveau des prix des matières premières non énergétiques qui approche les 9%.   

Relance économique, création de richesses et d’emplois, croissance et prospérité ; telles sont les préoccupations des populations et les soucis des gouvernants et des opérateurs.

Telles sont aussi les grandes lignes des programmes annoncés par les partis politiques.

Mais entre la théorie et la pratique, entre les projets déclarés et les faits, il apparait le plus souvent de grands intervalles et de larges distances. 

Comme il existe des non dits et des intentions partisanes dans les coulisses de certains partis politiques, qui s’accaparent les voix des électeurs et qui finissent par les prendre en otage.

Ce qui impose une des grandes batailles et non des moindres, celle de la vérité, de la transparence, de l’ouverture et de la confiance.

Et ce sont ces valeurs décisives qui doivent guider l’action politique saine et la gestion économique claire, afin que la vérité triomphe sur le doute et l'hésitation, et afin que le citoyen puisse non seulement donner sa voix, mais agir et participer énergiquement aux affaires de sa nation.

Et c’est ce que permet et ce que reflète la confiance des citoyens en eux mêmes et en la volonté de changement et de renouveau, apportés par un parti progressiste, mobilisateur et déterminé, un parti audacieux et entreprenant.

Un parti politique dont la dynamique est l’ouverture totale envers les citoyens, et dont le moteur principal est l’innovation qui repousse constamment les limites, conformément à une tendance à toujours faire mieux.

Un parti politique qui puisse concrétiser et matérialiser l’épanouissement des classes moyennes, le partage des chances et des richesses, l’équité, l’égalité, la diversité et la lutte contre l’exclusion et la pauvreté.

Et quand  au Canada le parti libéral avait adopté sa nouvelle constitution et ses règlements inédits, il était clair et décidé à évoluer dans le sérail inventif des partis politiques planétaires, et à accomplir un grand saut révolutionnaire dans la politique moderne, pour se consacrer irrévocablement, comme la force politique la plus innovatrice et la plus énergique de l’histoire politique canadienne, et à être un des partis politiques précurseurs sur la scène mondiale.

Devenu un parti ouvert et expansif à l’écoute des idées et des propositions des Canadiens, le parti libéral fut doté d’une plate-forme riche de centaines de milliers de conversations depuis 2015, dans l’un des processus d’élaboration des politiques, des plus accessibles et des plus interactifs qui soient.

Alimenté sans cesse par les flux de conversations et d’idées politiques ininterrompues, qui orientent constamment les démarches et les décisions que doivent prendre le parti et le gouvernement dans la préparation des actions et des élections.

Des innovations nourries d’une conviction et d’une dialectique de volonté de changement, comme étant le réacteur qui feront avancer, et l’économie et la société canadienne toute entière.

Un modèle de politique et de leadership innovateur et créatif, s’est avéré extrêmement nécessaire pour le parti libéral, dès qu’il a choisi de prendre le devant de la militance et du changement, et de s’engager à motiver les volontés, à animer les compétences des hommes comme des femmes, et à soutenir les jeunes à participer, à agir et à avancer au pas contre vents et marées et pour un avenir meilleur.

Un leadership intrépide et ambitieux, pour qui la politique ne doit plus demeurer un ensemble de chiffres, de comptes, de budgets et d’inventaires des populations, mais d’être considérée pour ce qu’elle est, une réalité humaine et sociale vivante, qui revendique une sollicitude empreinte d’humanisme, de générosité et de dévouement. 

Et depuis que les conservateurs s’étaient s’inscrit au banc des absents de cette dialectique d’innovation et d’adhésion aux aspirations persistantes des canadiens, la rupture, la scission et le divorce étaient inéluctables.

Les canadiens n’attendaient que l’évènement électoral de 2015 pour officialiser cette désunion promise d’avec les conservateurs, afin de réparer tant de désordre et restaurer tant de gâchis que Harper et ses partisans avaient laissés derrière eux, réactiver et régénérer l’image d’un Canada, éreintée et abîmée à l’échelle des nations.

Se porter prêt et décidé au changement, être d’aplomb et s’armer d’audace pour les mutations, voilà qui a fait la force des citoyens et le génie d’un leader.

Le changement qui bouscule, qui crée, qui rénove, qui ose et innove.

La mutation qui repousse, déblaye et débarrasse les entraves et les blocages des sociétés et des institutions, pour faire place à l’évolution qui casse les cercles vicieux.

Faire  mieux et le prouver plutôt que de s’en tenir à la formalisation, ou de se résigner et d’abdiquer devant les faits, alors que l’innovation et la possibilité d’améliorer l’économie et la société ne sont jamais figés, mais demeurent toujours possibles et accessibles.

La politique pour les libéraux s’est consacrée comme une force qui ne vit et ne se ressource que de ce besoin de remise en question permanente, ce besoin de réadapter ses orientations et de les réajuster aux intérêts du Canada et de ses citoyens, et de demeurer à l’écoute permanente des citoyens et de leur réalité quotidienne.

Indépendamment de la pression sociale, elle tend constamment à apporter des réponses et des solutions adéquates.

Et quand un parti politique est armé de talent et de compétence du renouveau et de régénération, et qu’il est doté d’un programme courageux pour la conversion politique, il est certain qu’il en fera une opportunité pour un saut en avant et un succès performant.

Et c’est parfaitement l’évolution et le nouveau changement que venait de connaitre le Canada en cette deuxième décennie du 21 ème siècle, changement ayant commencé à peine il y a deux ans, et qui a énormément changé le visage du Canada, avec autant de réalisations notables ayant vu le jour sous le ciel du pays et hors des frontières.  

Mais qui aurait pu accomplir une prouesse pareille en cette année 2015 ?

Qui aurait pu imaginer cette victoire aussi écrasante et ce grand virage ?

Quand le peuple canadien renoua ce soir là, et pour longtemps, avec son histoire parfaite et son temps de renouveau.

Ce grand tournant progressiste du canada, qui s’amena en un vrai ras de marrée multipliant par 10, ce jour là, puis peu de temps après, par 20 le nombre des militants du parti libéral.

Essoufflant ses adversaires comme une vague géante que plus rien ne peut repousser, en les terrassant et en séduisant les foules prêtes au changement et les faisant craquer.

Remettre à neuf l’image d’un canada dynamique et pacifique sur la scène mondiale, redorer la diversité exceptionnelle et multiculturelle qui fait sa richesse, cette bénédiction enracinée dans le peuple canadien qui a toujours combattu les préjugés et la discrimination, la peur et les réticences.

Renouer avec la croissance et la créativité d’un pays qui regorge de richesses et de potentialités, recouvrer la prospérité et en faire profiter les canadiens, leurs familles et leurs descendants.

Telle est l’aspiration des canadiens de tout cœur et tout bord, et c’est ce qu’ils ne cessent de réclamer et d’attendre depuis des années.

Quand la machine du parti libéral, avançait, accélérait, poussait et compressait, en forçant la voie et en étrillant pas mal de politiciens sur son chemin, un seul projet et une seule visée ; rectifier des politiques dont la nuisance allongée, n’a été possible que par les leurres, les subtilités et les artifices politiques.

Il fallait cette belle avancée et les avalanches qu’elle amena, pour rendre compte de la bascule de l’ancien exécutif et le remettre à sa vraie dimension.

Et ils croyaient ne jamais rendre le tablier. 

Longtemps, les désinformés leurrés et abusés, continuaient à croire aux propagandes et aux matraquages, jusqu’à ce que tout le système devienne insupportable au citoyen canadien lambda.

Le ras-le-bol, la déception et l’écœurement des canadiens après une décennie des conservateurs au pouvoir, étaient à son paroxysme.

Jusqu’au jour de l’ascension éclatante d’un homme d’une verve libérale surprenante, gratifié d’une vigueur singulière qui fit la lumière, et sur sa force tranquille calme et sereine et de front terrible, et sur le leadership d’un parti progressiste et innovateur.

Tous ceux qui se prenaient pour des illuminés, ces prétendus donneurs de leçons et de vérité, roulants dans leurs mascarades et glissant dans leurs erreurs, sombrant dans leurs non compris et dans des politiques d’à-peu-près, auront désormais et pour longtemps, un adversaire de taille.

Il était temps qu’un homme en fasse définitivement une histoire du passé, et seul le parti libéral pouvait générer un tel personnage.

Et ce fut Justin Trudeau !

 

 

 

Justin Trudeau…

 

Qui aurait pu, mieux que lui oser déclencher cette révolution calme et soudaine, au point de  se consacrer icône et école du changement au Canada actuel ?

Ecrire sur le nouveau changement du Canada en ce moment et débattre sur son leader politique, n’est ni adulateur ni propagandiste et aucunement exalté, car le vrai, le beau et le bien, sont des valeurs absolues, humaines et universelles, aisément et communément reconnaissables.

Car écrire sur un leader politique, c’est aussi approcher les chantiers stratégiques divers et les multiples réformes qu’il est en train d’impulser, afin d’engendrer une nouvelle apothéose de la créativité et de l’innovation d’un gouvernement.

Et c’est aussi révéler leurs effets généreux sur l’essor économique et social du pays, sur l’épanouissement de ses populations et de ses classes sociales, ainsi que sur la réputation du Canada hors des frontières.

La tâche n’est certes pas aisée de relater dans un simple ouvrage les records et les réalisations abondantes du parti libéral, comme il est encore plus difficile de scruter dans tous ses détails, les traits de la personnalité de son leader, son élan, ses projets politiques, ses tournées et ses actions ingénieuses qui ont engendré l’épopée canadienne de ces deux dernières années de pouvoir.

Mais la tentation est fortement utile de ce qu’elle éclaire sur ce temps nouveau de la nation canadienne, comme sur le comment des changements et des mutations, ainsi que sur les mobiles et les ambitions qui muent les populations, guidées et entretenues par une force politique progressiste, d’une inspiration puissante, maintenue et déterminée.

Cette force visionnaire et cette puissance de changement qui fait naître chez un observateur comme chez un auteur, ce besoin vital, pressant et insistant de témoignage d’une époque, qui interpelle tout chercheur comme il interpelle tout intellectuel sur la place des idées, et auquel il ne peut se soustraire, à vouloir attester ou produire une réflexion et un débat.

Il en est des personnages, qui vous insufflent l’envie impérative de méditer, d’écrire, ou de vous livrer à  une réflexion que l’on sait passionnante et envoûtante.

Justin Trudeau, appartient à cette élite mondiale qui est en train de rééquilibrer et de corriger les déviations de la politique et la nonchalance des politiciens.

Communiquer au monde cette vérité de changement, entretenue à la fois par un leader et premier ministre, par un parti progressiste et avant-gardiste, et par le peuple canadien prêt aux mutations, est en ce tournant historique des nations, une tâche décisive et un devoir citoyen de communication.

Comme il est certain, que les forces motrices qui actionnent tout changement social et économique, sollicitent la stature d’un leader raisonnable et hors du commun, apte à amener les hommes à la raison de donner le meilleur d’eux-mêmes, et à leur insuffler la conviction de consolider les volontés et de relever les défis, en leur démontrant que le meilleur est toujours possible et accessible, afin de tous participer à la prospérité et cueillir ensemble ses résultats.

Homme de charisme et de droiture, Justin Trudeau est reconnu pour sa loyauté et son franc-parler, sa compassion, son amour et son dévouement au Canada et à son engagement politique.

Nourri des principes d’un Canada multiple et pluriel et des échanges de paix et de partage, avec toutes les communautés, toutes les ethnies et toutes les confessions.

Ce qui lui a valu aussi, l’adhésion de millions de citoyens de par le monde, en Europe, en Amérique, dans le monde arabe, en Asie et en Afrique, qui voient en lui le portrait d’un leader démocratique idéal, dont des populations entière ne cessent de rêver dans leur quotidien politique.

Car pour acquérir l’adhésion et l’admiration de l’opinion publique d’ici et d’ailleurs, et devenir un leader admiré et adulé, il ne suffit guère d’être un politicien chevronné et ardu avec à son actif de longues années d’un parcours politique.

Il en faut beaucoup plus en volonté, en authenticité et en courage.

Ce qu’a pu offrir l’originalité du personnage de Justin Trudeau ; une nature qui exprime la profondeur et la multiplicité de ses engagements et de sa disposition à combattre sur plusieurs fronts à la fois.

Ces fronts de combat où sont engagés les canadiens quotidiennement, et qui sont l’équité et la diversité, l’emploi et la santé, les droits de l’homme et les libertés, l’égalité des sexes, la générosité envers les plus démunis et les réfugiés du monde mieux qu’aucun pays européen ne l’a fait.

Les classes laborieuses et les jeunes qu’il exhorte à raviver leur résistance et leur ténacité, face à la médiocrité et au laisser aller, avec un humanisme minutieux et exigeant, ainsi qu’une forte conscience de leader et de responsable politique chevillée au corps.

Un leader résolu à bâtir une nouvelle éthique de la politique et de la gestion de la chose publique.

De conversation dégagée et attachante, d’un enthousiasme et d’un humanisme qui en dit long sur sa pensée et sur sa philosophie de servir son pays, et de servir le genre humain.

Obstiné à honorer les promesses qu’il a faites aux canadiens et à prouver sa crédibilité, aussi bien qu’à affronter les réticences farouches de ses adversaires.

Et quand on est l’un de ces personnages que l’histoire appelle et interpelle, il est inéluctable de se faire des adversaires, comme il est inéluctable que Justin Trudeau viendra à bout des adversités et des épreuves qui joncheront son chemin.

Ses penchants de boxeur et sa passion du yoga ayant façonné son autre facette, l’ont humecté d’une spiritualité, d’une volonté et d’une sérénité de gagnant et d’athlète, qui persiste et qui ne peut reculer pour rien devant ses projets.  

Brassé par plusieurs personnes, plusieurs régions et maints parcours qui ont cultivé sa force et forgé ses expériences, il s’est fait une large vision sur le Canada, une vision que « Terrain d’entente », son livre biographique, reflète nettement, comme il reflète son orientation d’unir les canadiens et de bâtir la force du canada, et non de l’affaiblir par les divisions et la destruction de son image et de ces valeurs, longtemps tancées par les conservateurs qui se hasardaient sur la peur et les divisions.

Son bacca­lau­réat en litté­ra­ture anglaise de l’Uni­ver­sité McGill, doublé d’un bacca­lau­réat en éduca­tion de l’Uni­ver­sité de la Colom­bie-Britan­nique, son poste de jeune professeur enseignant de francais et de mathématiques à Vancouver, ainsi que les nombreuses occupations effectuées le long de son parcours, ont pétri sa riche personnalité, son courage et sa proximité citoyenne.

Son discours d’hommage national et d’éloge funèbre aux funérailles de son père, le 3 Octobre 2000, marquèrent alors les esprits, en le projetant malgré lui, dans le l’univers politique.

Mais son réel engagement politique ne le rattrapa que dès l’an 2002, quand il décide de quitter l’enseignement et revient prendre à Montréal la présidence du conseil d’ad­mi­nis­tra­tion de Kati­ma­vik, un programme ambitieux et humain créé par son père à la faveur de la jeunesse.

Cette ferveur et cet attachement à la jeunesse, qui le poursuivent encore aujourd’hui, en créant le Service jeunesse Canada, afin de motiver les jeunes au bénévolat et ressusciter le programme Katimavik, suspendu en 2012 par les conservateurs.

Justin Trudeau, concrétise ainsi sa promesse de campagne en remettant sur pied Katimavik dont il a toujours été un ardent défenseur, avec son enveloppe de 105 millions de dollars sur trois ans, ce programme ambitieux verra son lancement officiel en 2019, et qui entre-temps, fournira en 2018 des fonds à dix organismes nationaux, dont Katimavik, pour une plus grande mobilisation des jeunes Canadiens.

Avec au menu des subventions aux jeunes porteurs de projets novateurs et d’initiatives locales de mobilisation, dont plus de 4000 Canadiens de 15 à 30 ans recevront des sommes de 250 $ à 1500 $ par l’intermédiaire de l’organisation TakingITGlobal.

Enseignant, père de famille, sportif, leader et militant au sein de la jeunesse, les expériences de Justin Trudeau l’ont gratifié d’une humilité et d’un dévouement envers les Canadiens, et ont tonifié sa vision d’un Canada où tout le monde doit avoir sa chance réelle de réussir et de bénéficier des opportunités de prospérer et de s’épanouir.

Ce qui lui a permis aussi une influence bénéfique envers les jeunes, du temps de son poste d’enseignant et de ses années de militant, et encore aujourd’hui, quand il fait entendre leurs voix à la Colline du Parlement.

Comme dans ses années de militant et de bénévole, quand il siégeait au conseil d’administration de la Fondation canadienne des avalanches, et luttait en faveur de la jeunesse et de l’environnement. En conférencier énergique, il motivait les jeunes à s’engager dans les causes qui leur tiennent à cœur, et à persévérer comme citoyens actifs dans leurs communautés respectives.

C’est ainsi aussi qu’il s’était familiarisé avec les enjeux et les préoccupations des jeunes pour l’éducation, l’environnement et les perspectives économiques.

Aujourd’hui, ils trouvent en lui le personnage et la force pour porter plus haut et plus loin leurs voix et leurs aspirations, et leur octroyer une représentation fidèle.

Justin Trudeau qui entre 2002 et 2003, reprenait ses études d’ingénieur à l’Ecole polytechnique de Montréal, puis s’inscrivait en maîtrise de géographie envi­ronne­men­tale à l’Université McGill, ne décida pourtant de s’investir définitivement dans la vie politique de son pays qu’en 2006, quand il fut élu en octobre 2008 au siège de député fédéral de Papineau, siège auquel il est réélu successivement en 2011 puis en 2015.

Le 14 avril 2013, les 80%  des voix au premier tour, lui ouvrirent la voie de la consécration, et il décrocha la direction du Parti Libéral du Canada et devient son chef et son leader politique.

Les deux années passées à la tête du parti, lui ont suffit à réanimer les forces du parti, à rassembler ses lignes et à décupler ses militants et ses sympathisants.

Sa montée s’annonça éblouissante et confirma alors l’arrivée d’un homme politique charismatique, dont la côte de popularité et de notoriété ne cessent de monter en flèche, devenant la personnalité politique préférée des canadiens comme premier ministre.

Et dans cet élan singulier, sans jamais renier ses convictions de modestie et de cordialité, Justin Trudeau se révéla d’une confiance en soi, sans précédent.

Quand en octobre 2015, son parti remporta les élections fédérales, le fils le plus célèbre du Canada fut désigné Premier ministre,

Il prêta serment et devint le deuxième plus jeune premier ministre du pays, à 43 ans, et le premier chef d'un parti politique fédéral à hisser son rassemblement du troisième rang à la tête du pouvoir, en formant un gouvernement majoritaire, avec des sièges dans chaque province et dans chaque territoire, et en féministe courageux, il constitua pour la première fois de l’histoire du Canada, un conseil des ministres où les femmes occupent le même nombre de sièges que la junte masculine.

Ayant  mené une campagne sans reproche face à deux adversaires aguerris, le conservateur Stephen Harper et le social-démocrate Thomas Mulcair, Trudeau surprit les narquois et déjoua leurs sondages espiègles, en battant les deux conquérants avec des records inédits et un score majoritaire.

Il fut élu personnalité de l'année par les médias canadiens, et devint une vedette mondiale dont le charisme redonna au Canada, une toute autre physionomie luisante à l’international.

« Se battre avec le sourire », une citation bien de lui et qui le décrit pleinement !

Sa jeunesse qu’on lui sermonnait, a fait justement sa force et sa longue haleine, comme son honnêteté et de sa franchise.

Et seul un Leader d’une telle trempe, peut rendre attractive la politique et la genèse des scrutins et des urnes, désertées jadis par les masses.

Quand près de 40% de canadiens ne votaient pas aux précédentes élections fédérales, il a ramené la confiance et redonné son vrai visage généreux et dynamique au canada et a repositionné sa notoriété politique.

Lors des élections de 2015, le vote chez les Canadiens de 18 à 24 ans a augmenté de 18 % pour atteindre 57,1 %, son point le plus haut depuis qu'Élections Canada a commencé à recenser le taux de vote par âge en 2004.

Une étude ultérieure de la firme Abacus, annonçait que 43 % de ceux qui avaient soutenu le NPD en 2011 avaient changé leur vote en 2015 pour les libéraux,  et tant d’autres issus de plusieurs autres partis.

Il a ravivé et révolutionné les instances et les orientations de son parti, devenu aujourd’hui le parti le plus progressiste du continent américain et de l’histoire politique du Canada, avec à son actif l’immense changement qu’il ne cesse d’apporter à la nation canadienne, dans sa politique intérieure comme à son rayonnement à l’international.

Personnage convenable à son époque par son style, par son ouverture, par sa faculté et son aisance à communiquer, comme par sa loyauté et sa transparence, Justin Trudeau est absolument populaire, au canada, et hors des frontières.

Ouvert aux meetings et au contact  avec les jeunes, qui ont à cœur d’abattre toutes les frontières idéologiques ou culturelles, et n’épargnant aucun des dossiers chauds ; légalisation des drogues douces, lutte antiraciste,  développement durable, partage des richesses, respect des différences culturelles, ethniques et religieuses, diversité inclusive et égalité des genres, Justin Trudeau à tout remis sur la table et en toute transparence.

Pour 80% des canadiens, Justin Trudeau est considéré comme la personnalité la plus dotée des qualités de bon responsable politique.

«J'ai appris très tôt dans la vie à ne pas me laisser affecter par des gens qui me détestent à cause de mon père», disait encore Justin Trudeau.

Ce père, Pierre Elliot Trudeau, fondateur vétéran du Canada moderne, Premier ministre de 1968 à 1979 puis de 1980 à 1984, et libéral convaincu, dont il éprouve une grande fierté d'être le fils et d'avoir été élevé à ses valeurs.

Ayant libéré les mœurs et officialisé le divorce  dès 1967, avec sa phrase historique : « L'État n'a rien à faire dans les chambres à coucher de la nation. »comme son père, Pierre Elliott Trudeau, avocat émérite, ayant légalisé le divorce, décriminalisé l’avortement et l’homosexualité en tant que ministre de la Justice, et avait aboli la peine de mort en tant que Premier ministre du Canada, en 1976, à une courte majorité de députés ; ses décisions percutantes et inédites, avaient renforcé l’image du Canada sur la scène internationale.

Fondateur du bilinguisme et de l'adoption de la loi sur les langues officielles, comme de la charte des droits et libertés, ainsi que le rapatriement de la constitution.

Et depuis les premiers pas de Justin Trudeau dans la politique et dans la course à la chefferie, son ambition fut de concevoir un nouveau mouvement pour les canadiens progressistes au niveau de toute la nation, en amenant des centaines de milliers de canadiens à s’engager dans la politique pour le changement, et en impulsant une plateforme libérale des plus ingénieuses de dialogue et de concertation, pour la création d’opportunités économiques équitables pour tous, afin que règne le respect de la liberté et de la diversité, pour la démocratisation des politiques et pour un gouvernement plus réceptif et plus démocratique, qui représente parfaitement et sans reproche, tous les canadiens.

 

l’Humanisme et l'innovation

Pilier d’une politique libérale

 

Si Justin Trudeau est un homme politique aux idées innovatrices et irréductibles, il est aussi un humaniste de première ligne et de première valeur.

Imprégné d’une spiritualité avancée aussi bien que naturelle, d’une sensibilité et d’un humanisme débordant, un personnage qui ne peut dissimuler ses émotions ni son penchant captivant de compassion et d’affection envers les autres.

Et seule cette bouffée généreuse nourrie de noblesse et de grâce, peut honorer les hommes, sauvegarder leur estime et leur environnement et œuvrer pour le bonheur de la société entière.

Comme seule aussi ce souffle serviable, peut octroyer un rang distingué aux théories de l’économie politique et aux instruments de gestion et de développement du pays.

Les gestes et les actions humbles du cœur, l’amour, la force de l’âme et les lancées de compassion, sont les signes irréfutables de la grandeur humaine d’un leader, que ne peut altérer ni le temps ni les événements.

Cette richesse de l’âme dont regorge Justin Trudeau, et qui ont fait son énième succès, émerveilleront toujours les citoyens et les observateurs, pour ce qu’ ils sont, une source intarissable dont a besoin le monde pour combler le vide et la soif spirituelle de vertus humaines, d'amour, de droiture, de justice et de dévouement, que peut propager et enseigner un leader.

Et sans cette vertu d’humanisme et d’attachement à la dignité, comme à l’équité, à  la justice et à la solidarité, toute croissance économique et tout développement resteraient dérisoires devant le fossé des écarts, des déséquilibres et des partialités qui peuvent se creuser chaque jour au sein des classes sociales.

Car la politique qui est l’art et le savoir de créer les meilleures conditions de félicité et de bonheur pour les citoyens, n’a le mérite de garder sa primauté sur l’économique et sur le social, que grâce à ce sens noble des valeurs humaines.

Comme seule aussi cette vertu, peut octroyer à la politique sa prééminence sur toutes les autres variables.

Le premier ministre et leader des libéraux, étant un personnage captivant, prêt à s'émerveiller, prêt à émouvoir et à être ému, sa vivacité fait de lui un des hommes d’honneur et de cœur, qui ne lâche aucun mot qui ne parte des tréfonds, déterminé à ne donner réellement que lorsqu’il donne de lui-même, de son savoir et de son vouloir à faire mieux.

Il n’est ainsi pas rare de l’entendre exprimer pleinement ses vives émotions, ou de le voir étreint par un puissant émoi et de craquer devant l’assistance et les caméras du monde entier, ne pouvant retenir ses larmes, symbole de sa sensibilité sincère aux situations, comme lors de l’accueil de familles de réfugiés, ayant souffert de la guerre et de la torture morale, et du désarroi de se retrouver sans foyer et sans patrie.

Des familles qu’il accueille par une haute et sublime générosité humaine : « Vous quittez votre maison et vous êtes accueillis par deux mots : Bienvenue à la maison ».

Des moments émouvants et impressionnants, qui font la fierté d’un premier ministre et de tout le Canada.   

Et c’est comme il le dit lui-même : « le reflet de ce que le Canada a de meilleur»

Ou encore à la mort de Gord Downie, quand il n'a pu dissimuler ses larmes en lui rendant hommage : « Nous avons perdu l'un des meilleurs d'entre nous ce matin. Gord était mon ami, mais Gord était l'ami de tout le monde. Il voulait rendre le Canada meilleur. Il savait trop bien qui nous étions. Nous sommes diminués sans Gord Downie. »

N’hésitant jamais à exprimer sa nature affective et son tempérament généreux et altruiste, à être de toutes les occasions religieuses ou communautaires des canadiens, pour leur souhaiter bonne fête ou pour participer à leur quotidien, que ce soit le ramadan, les rites religieux ou les festivités autochtones.

Ayant grandi dans un milieu familial bilingue,  simultanément en français et en anglais, ses origines familiales de l’Est et de l’Ouest du Canada ont grandement contribué à façonner son penchant pour le service public et pour la diversité.

Tous ceux qui le côtoient, le rencontrent, ou suivent sa lancée et sa vie politique et sociale, témoignent d’un personnage sans arrogance ni vanité aucune, ne prétendant posséder seul une réponse à tout, ni de savoir mieux que tous.

Ne dédaignant personne et n’hésitant jamais à dire toute la vérité crue, sans détour et sans artifice, avec une capacité d’écoute active et attentive, apte à motiver les citoyens à ne plus rester indifférents, à s’exprimer, à participer et à se révéler.

Il est sans équivoque, que le personnage jouit d’une grande capacité d’action et d’une dynamique de prise de décision aussi bien minutieuse que courageuse, le rendant habile à tenir parole de ses engagements, en sachant pertinemment, que des millions de canadiens veulent compter sur lui.

Muni de sa force de caractère, sans nul besoin de se renier, il persiste aujourd’hui à rester lui-même, comme l’ont connu dès le premier jour, les électeurs et tous les canadiens, et doté rien que de sa sincérité et de sa passion de faire toujours mieux, avec sa compassion et son affection pour les autres, il serait un idéal et un modèle pour bien des politiciens dans le monde...

.........................................A suivre..........................................

                                                                        un temps fort

 

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